Ma nouvelle chronique publiée dans Harvard Business Review examine l’impact du coronavirus sur la stratégie des organisations. Pour repartir sur de bonnes bases, elles doivent impérativement passer d’une stratégie pensées en termes d’idéal à une stratégie pensée en termes de réel. Cela implique d’exposer systématiquement leurs modèles mentaux, ou croyances profondes, qui déterminent leurs prises de décision. L’article, co-écrit avec Béatrice Rousset, est disponible ici.
My blog in English
Derniers ouvrages
Rechercher
Suivez-moi sur Twitter
Mes TweetsArticles les plus consultés
- Faire la peau à la bureaucratie: Et si c'était la mauvaise question?
- Effectuation: Comment les entrepreneurs pensent et agissent... vraiment
- Innovation: Ce que nous devons à Clayton Christensen, théoricien majeur du management
- Est-il nécessaire de vouloir bâtir une cathédrale pour donner un sens à son travail?
- A propos
- Reconstruire le collectif face à l'incertitude: entre restauration et révolution
- Bye bye Amazon? Réponse à Pascal Demurger sur les organisations porteuses de sens
- L'opposition innovation radicale - innovation incrémentale n'est pas pertinente
- Ce qui bloque votre transformation organisationnelle, ce sont vos modèles mentaux
- Société à mission et profit: le "en même temps" est-il possible?
Archives
Catégories
Merci pour cette chronique qui fait du bien et qui va à l’inverse de l’opinion dominante et médiatique en France ; Notre Pays croit toujours au mythe de l’Etat salvateur et au grand méchant marché privé. la faillite de l’Etat lors du COVID 19 a une fois encore démontré qu’il fallait changer nos modèles mentaux ; des fondations privées, des associations, des particuliers mais aussi des entreprises (ex. les Entreprises à missions) peuvent contribuer à l’intérêt général et au long terme tout autant si ce n’est plus que l’Etat (Elon Musk lance ses fusées dans le cadre d’un partenariat avec la NASA) ; il faut donc arrêter d’opposer Etat et secteur privé et organiser un partenariat entre les 2 secteurs dans lequel chacun pourrait contribuer, dans son registre, à l’intérêt général et au long terme, pour le plus grand bénéfice du contribuable et des citoyens tout en améliorant le service rendu et en évitant les gabegies étatiques qui sont rappelées chaque année par la Cour des Comptes.