Que fait un riche quand il s’ennuie? Il se lance dans un projet d’innovation. Conquérir Mars, traverser l’Atlantique, prolonger la vie humaine, inventer une intelligence artificielle fondamentale, créer un robot, etc. Expression de l’ego de leurs promoteurs, ces projets sont souvent jugés inutiles et qualifiés de lubies, c’est-à-dire d’envie capricieuse et déraisonnable. Mais est-ce si sûr? Et si les lubies d’aujourd’hui étaient les innovations utiles de demain? Et s’il fallait se garder de porter un jugement moral à la fois sur ce qui se fait (inutile!) et sur ceux qui le font (les riches et leurs caprices)?
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