Entretien accordé par Klaus Kleinfeld, PDG de Siemens, au Monde. On notera un certain optimisme, tranchant un peu avec l’humeur ambiante en Europe en ce moment. Selon lui, la France et l’Allemagne restent globalement compétitives. Il remarque que si la maîtrise des coûts est indispensable, "le nerf de la guerre, c’est l’innovation". Il estime que l’Europe est une chose extraordinaire – il rappelle que lorsqu’il a commencé sa carrière, l’Irlande était pauvre et l’Espagne sortait d’une dictature, comme la Grèce. Il ne pense pas le modèle social allemand dépassé, puisque ce pays reste un grand exportateur.
Le détail de l’entretien: http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-670452,0.html.
🇬🇧 Read me in English
Abonnez-vous!
Rejoignez les 13 044 autres abonnés-
Mes ouvrages
Rechercher
Suivez-moi sur Twitter
Mes TweetsArticles les plus consultés
- Le syndrome du canard: comment les organisations en déclin s'habituent à la médiocrité
- Vive les réseaux sociaux! Comment TikTok fait lire les ados
- Je fais ma part pour changer le monde: et si le colibri avait tort?
- Comment les modèles mentaux bloquent l'innovation: Le cas de la maladie d'Alzheimer
- Évaluer le potentiel de ChatGPT: Sept leçons d'histoire de l'innovation
- L'ordre règne à Varsovie: quand les processus tuent la créativité de l'organisation
- Effectuation: Comment les entrepreneurs pensent et agissent... vraiment
- Kodak, un exemple typique d'une entreprise leader victime du dilemme de l'innovateur
- "J'ai ouvert un ticket": comment le management formel tue les organisations
- Le canard était toujours vivant: comment l'entreprise peut sortir de la spirale du déclin
Archives
Catégories