Face aux nombreuses ruptures de leur environnement, la nécessité de se transformer en profondeur est devenue une évidence pour de nombreuses grandes entreprises. Et pourtant les résultats de nombre de programmes de transformation sont décevants. Ce n’est ni faute de moyens (les sommes dépensées se comptent souvent en millions), ni faute de volonté (l’impératif de la direction générale est clair). Face à ces échecs, produits d’une conception mécaniste et planifiée du changement, une approche plus émergente fait l’objet d’un intérêt croissant, le corporate hacking. Derrière se trouve l’idée que le salut de l’entreprise réside dans l’initiative de quelques uns pour la transformer en quelque sorte contre son gré.
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