L’incertitude, c’est à dire l’indétermination de l’avenir, est presque universellement vécue comme un problème majeur aussi bien chez les philosophes que chez les hommes d’affaires et les politiques qui souhaitent, selon le mot fameux de Descartes, se « rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. » Or il n’en a pas toujours été ainsi. L’humanisme né de la Renaissance, aux XVe et XVIe siècles, avait une attitude très différente, accueillant la complexité, la diversité et le chaos du monde avec intérêt. Tout change au XVIIe siècle, quand l’humanisme fait place au rationalisme. Pourquoi? La réponse à cette question est fournie par l’œuvre du philosophe Stephen Toulmin. Exploration.
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