Paul Geroski, professeur à la London Business School, est mort il y a quelques jours. Nous avons évoqué ses travaux dans un billet précédent, et notamment son livre écrit avec Costas Markides, « Fast Second« , dans lequel ils suggèrent qu’il vaut souvent mieux arriver second très vite que s’épuiser à créer le marché, mettant ainsi en doute l’intérêt du first mover advantage dans le processus d’innovation. Ils offrent également une intéressante classification des types d’innovation en fonction de leur impact sur les habitudes des clients et sur les compétences des entreprises, que nous reprenons dans notre livre « Objectif innovation ». Bon, c’était aussi mon prof d’économie, instant d’émotion donc.
🇬🇧 Read me in English
Abonnez-vous!
Rejoignez les 13 062 autres abonnés-
Mes ouvrages
Rechercher
Suivez-moi sur Twitter
Mes TweetsArticles les plus consultés
- Le syndrome du canard: comment les organisations en déclin s'habituent à la médiocrité
- Innovation: Et si les lubies de riches étaient utiles après tout?
- Je fais ma part pour changer le monde: et si le colibri avait tort?
- Effectuation: Comment les entrepreneurs pensent et agissent... vraiment
- L'ordre règne à Varsovie: quand les processus tuent la créativité de l'organisation
- Le canard était toujours vivant: comment l'entreprise peut échapper au déclin
- Évaluer le potentiel de ChatGPT: Sept leçons d'histoire de l'innovation
- L'échec de Kodak: un exemple typique du dilemme de l'innovateur
- Comment les modèles mentaux bloquent l'innovation: Le cas de la maladie d'Alzheimer
- Vive les réseaux sociaux! Comment TikTok fait lire les ados
Archives
Catégories