C’est une expérience hélas fréquente: au cours d’un séminaire sur l’innovation conduit pour un grand groupe, nous déterminions les grandes lignes d’une démarche d’innovation basée notamment sur le développement de l’intrapreneuriat. Nous déroulions les programmes qui permettraient aux collaborateurs de développer leurs idées, les structures, les dispositifs, etc. Puis finalement le moment crucial vint. Quelqu’un posa la question fatidique: « Mais avons-nous les gens pour faire cela? » Tout le monde se regarda consterné. La DRH – heureusement elle était présente – répondit, très gênée: « Et bien en fait, non. » Adieu veaux, vaches, cochons… et innovation.
My blog in English
Mes ouvrages
Rechercher
Suivez-moi sur Twitter
Mes TweetsArticles les plus consultés
- Éduquer pour un monde incertain: et si la clé, c'était la capacité à donner un sens?
- Face à l'incertitude et à l'adversité, faut-il être optimiste? La leçon de l'amiral Stockdale
- Effectuation: Comment les entrepreneurs pensent et agissent... vraiment
- Le créosote, ce manager performant qui détruit votre entreprise
- Société à mission et profit: le "en même temps" est-il possible?
- Mensonges publics, vérités privées: pourquoi rien ne change quand tout le monde est mécontent
- Faut-il un but dans la vie? Conseil d'orientation aux étudiants... et aux autres
- Un enjeu français: Le pari de Pascal de l'innovation
- A propos
- Katalin Kariko sauveuse de l'humanité: cinq leçons d'innovation pour la France
Archives
Catégories