Rien de tel qu’une bonne controverse dans le monde universitaire. La plupart d’entre-elles n’ont aucun intérêt pratique – on se souvient que la querelle sur le sexe des anges. Mais ce n’est pas le cas de toutes, et la remise en cause de la théorie de l’innovation de rupture proposée par le chercheur Clayton Christensen, professeur à Harvard et spécialiste de l’innovation que je cite régulièrement sur ce blog, en fait partie. Rappelons ce qu’est la théorie, examinons les reproches et montrons que si la théorie a des limites, ces reproches ne sont pas fondés.
My blog in English
Derniers ouvrages
Rechercher
Suivez-moi sur Twitter
Mes TweetsArticles les plus consultés
- Innovation: Ce que nous devons à Clayton Christensen, théoricien majeur du management
- Est-il nécessaire de vouloir bâtir une cathédrale pour donner un sens à son travail?
- Effectuation: Comment les entrepreneurs pensent et agissent... vraiment
- Le colibri a toujours tort: pour changer le monde, faire sa part ou faire le nécessaire?
- Bye bye Amazon? Réponse à Pascal Demurger sur les organisations porteuses de sens
- Société à mission et profit: le "en même temps" est-il possible?
- Le processus entrepreneurial: une réalité bien éloignée de ce qu'en dit la théorie
- La source du dilemme de l'innovateur: 1 - La rupture de nouveaux marché
- Les trois erreurs de la prédiction - à propos du rapport Théry de 1994
- Stratégie modèle mental
Archives
Catégories