Dans un très beau texte publié sur LinkedIn, le sociologue François Dupuy dresse un constat désabusé sur son métier. Selon lui, la « petite musique » de la sociologie, qui fut tant appréciée par son auditoire tout au long de sa carrière, va bientôt s’éteindre, victime à la fois du prêt-à-penser qui engloutit la pensée managériale et du manque d’intérêt des chercheurs pour le monde de l’entreprise. Si je partage en partie ce constat, j’explique dans ce qui suit pourquoi je ne suis pas aussi pessimiste quant à la possibilité de garder vivant une pensée du management, mais à condition qu’elle se mette au service de l’action.
🇬🇧 Read me in English
Abonnez-vous!
Rejoignez les 13 056 autres abonnés-
Mes ouvrages
Rechercher
Suivez-moi sur Twitter
Mes TweetsArticles les plus consultés
- Grands projets d'innovation: faut-il condamner les lubies de riches?
- Évaluer le potentiel de ChatGPT: Sept leçons d'histoire de l'innovation
- Le syndrome du canard: comment les organisations en déclin s'habituent à la médiocrité
- Comment les modèles mentaux bloquent l'innovation: Le cas de la maladie d'Alzheimer
- Vive les réseaux sociaux! Comment TikTok fait lire les ados
- Je fais ma part pour changer le monde: et si le colibri avait tort?
- Le canard était toujours vivant: comment l'entreprise peut échapper au déclin
- L'ordre règne à Varsovie: quand les processus tuent la créativité de l'organisation
- L'échec de Kodak: un exemple typique du dilemme de l'innovateur
- Erreurs de prédiction: Toutes vos lois empiriques sont ‘vrausses’
Archives
Catégories