Ce que la crise des missiles de Cuba vous apprend sur les limites du ‘Big Data’

Des preuves cachées à la vue de tous

Il y a cinquante ans exactement, le Président Kennedy était informé que l’URSS avait secrètement installé des missiles à Cuba. C’était le début d’une crise qui allait amener le monde au bord de la guerre nucléaire. Comment, malgré leur système de renseignement et la quantité d’information dont ils disposaient, les américains ont-ils pu être surpris à ce point?

Analyse des limites du ‘big data’ dans mon nouvel article écrit dans Forbes avec Milo Jones ici.

2 réflexions au sujet de « Ce que la crise des missiles de Cuba vous apprend sur les limites du ‘Big Data’ »

  1. On ne peut non plus, pour expliquer ces phénomènes, passer sous silence l’effet Janis (ou pensée de groupe) développé par Irving Janis en 1972 et bien relaté dans Wikipedia.

    1. Bonjour
      Vous avez tout à fait raison. Nous explorons cet aspect (ainsi que les biais en général) dans notre ouvrage sur les échecs de la CIA qui sortira en mai prochain. Dans l’aticle de Forbes, nous souhaitions simplement mettre en garde contre l’illusion « plus d’info=meilleure décision ».
      Merci!
      Ph S.

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